—— 200e 2E SECTION III. — CHAPITRE IV. 195 380. Parmi les fonctions du ( p — 1)'*"° genre, 1l faut remarquer celles qui répondent au cas où les coefficients de la formule (8) sont nuls, à l’exception de a9 et ap_1 ; ces fonctions ont pour expression . P() = [2 — d) H apal(e d J, et elles ont cette propriété que les racines de la con- gruence F(x)=0 (mod. p) sont des fonctions ration- nelles et linéaires de l’une d’entre elles. Effectivement, la congruence dont il s’agit peut, si l’on y introduit la racine ,, se mettre sous la forme ln su r —a ab== i—l——1—n————,—\n— (mOd. ]J), 14 (4 177 435 et l’on sait d’ailleurs que ses racines peuvent être repré- ; ; — sentées par x, &P, æB E xPP, Sur les fonctions entières irréductibles suivant un module premier, dans le cas où le degré est une puissance du module. 381. Je me propose d’examiner ici le cas plus gé- néral des fonctions entières irréductibles, dont le degré est égal à une puissance quelconque du module pre- mier p. Posons, comme dans le précédent article, {:{L—I)...[:‘U.—À'+I> vn u u— lU' x — cu E I ( ) 12 4 apt* -— (— r)e=t % æP’+(—1}#= (mod. P) formule de laquelle résulte la congruence (2) X. = X} — X, (mod. p).