COURS D,ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 1ÿ4 que d’, représente à + ap_;, ON trouve immédiatement r ; @—x q da vc ns6 ‘ V pra sp g , * An @ —æ q es p éres da-2 , , Epss Us AaT R e O ps - ps -— Ap=3 $ \ (I!) F(.r=— SREE R d fSs 1O AI d 7 P e OE # , / ’ | @3 q, a, ; a—æ q d } L , , | 42 d, q, : A> a, —x 4 ‘ , / ! ! a, a, d, = 6s « _4 a,—æ Telle est l’expression générale des fonctions irréduc- tibles du degré p suivant le module p. Si l’on veut avoir les fonctions du uiè"e venre, on P v € fera (12) du+x1 — O, Ay42— O, .. Tp4—O0, et l’on peut supposer aussi (13) du—1 — O. En effet, la congruence F(x)=0 (mod. p) est celle dont dépendent les racines (10 ) ; or, parmi ces expres- sions (10), ily en a une, f(i+3), dans laquelle le coefficient de à*-! est congru à zéro, et rien n’empêche de substituer dans notre analyse /(7+) à f(i). Ayant donc égard aux équations (12) et (13), si l’on 4=_ attribue aux coefficients ao, , .…, a,_» les valeurs Îhÿ O, 1,2, ..., p—1 età —a‘u les mêmes valeurs, zéro excepté, Ë la formule (11) fera connaître les (p— 1) p*—* fonetions wréductibles du ui°" genre. S1 on fait l’application au cas de ,— 1 et à celui de p =— 2, On trouvera : . e Fr{a)\— ° 19 Pour p=1, F(x)=xP—x—a;; 22 Pourp—2, F Pri É25n / \ \ 2 % ‘\.’I.‘) — (.I""“'l()f lîÿ.l,‘—(?ù 7 J . li2.