SECTION IfI. — CHAPITRE IV. 193 / ( férieuràp; d’ailleurs ce premier membre est la diffé- rence p'*”° de f(i) relative à la différence constante 1 attribuée à ë; donc, puisqu’il se réduit à la constante g différente de zéro, le degré de f(i) est précisément égal à u; on a, en conséquence, e a= —— e dyp=— QUppg= 0 p =0 379. Il est aisé d’obtenir les fonctions irréductibles des différents genres. Supposons que les p coefficients , Ay, .… Ap_y de la formule (8) restent indéterminés, en excluant le cas où f(d) se réduirait à la constante a9, et considérons la congruence (9) &[f(i)—xæ]=0 (mod.p), dans laquelle À prendra les p valeurs o, 1, 2, ..…, p—1. Si l’on rabaisse au-dessous de p les exposants de i, en faisant usage de la congruence (7), la formule (9) donnera p congruences, dont les premiers membres seront des fonctions homogènes et linéaires des puis- sances i°, i*, i?, ..…, iP-!. En égalant à zéro, suivant le module p, le déterminant F(x) formé avec les coeffi- cients de ces puissances de i, on obtiendra la congruence irréductible dont les racines sont (T0) F()s FUA1) 0009 F RS E F(x) sera donc une fonction entière irréductible du degré p. Si l’on fait, pour abréger l’écriture, , An + 4 — U p et qu’on regarde a, comme équivalent à ao, en sorte S, —Alg. sup., U. 13 Os