192 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. ” les racines de cette congruence seront sd D4 ! i+p—T, et il est évident que les p racines de la congruence æP—æ—g=0 (mod.p) seront gü g{i+l)v g(i+2)v 21e 8‘(Ï+P—I)v en sorte que les fonctions irréductibles du premier genre sont caractérisées par cette circonstance que leurs l'acines sont des fonctions linéaires de à. Je dis que généralement les fonctions du jtième genre ont pour racines des fonctions entières de i du degré u. En effet, considérons une telle fonction, et dési- gnons par (8) f‘(i)==aro—-+—alz‘—i—(17__,1'3—{—...—‘r—ap_1i"_1 l’une des racines de la congruence obtenue en l’égalant à zéro, suivant le module p. D'après ce qui aété dit plus haut, / (i) seraracine de la congruence X,=g (mod. p) dans laquelle ÿ a une valeur convenable. Exécutant la substitution et observant que A [f(i)]”'"Ef(iPm) =/(i+tm) (mod. p), il viendra p [L{Œ— \ S(étp)= 5 f(8+ p —r)4 RE Fs3 ts ;L—1Ë/"i+l + (—1)}/(à3)=2 (mod. p). ; ( \ / Os < Cette congruence est nécessairement identique, car son premier membre est un pol_ynôme en à de degré in-