2 SECTION III. — CHAPITRE 1IV. LIQT dans la formule (2) quand on attribue à p les valeurs I, 3, 3. … (p—1), et divisons ensuite la congruence ré- sultante par X» X3... X,_,, il viendra (3) X,=X, (x* —1(XP*—1). .. (XPH3 —1) (mod.p); p—1 mais la formule (1) donne X— ——x é XpExpp—æ (mod. p), en sorte que le quotient V de X, par X, est égal au produit de toutes les fonctions entières irréductibles de degré p; on a, par la formule (3), Sré p5 ;P \ (4) vV=(x+—") (XZ—1——I)---(XZ:Ï_1) (mod. p), et l’on sait d’ailleurs que (5) X* —1=(X =1} (— a) - (XE -p - (mod / Ainsi chacun des facteurs X?-!— 1 de V est, d’après la formule (5), le produit de p— 1 facteurs X, — g, où g a les valeurs 1, 2,...(p—1), et chacun de ces fac- teurs X,—g est lui-même le produit de p*-! facteurs irréductibles du degré p. En particulier, le facteur X,-!—1 est le produit des p—1 polynômes irréduc- tibles (6) æP — æ — Z, que j'ai considérés précédemment. 378. Les fonctions entières irréductibles du degré p peuvent être distinguées en p—1 genres, en compre- nant dans le u'°”° genre toutes celles dont X?-* — 1 est le produit. Le premier genre comprend les — 1 fonc- tions (6). Svit Z une racine de la congruence irréductible / (7) &—i—=o (m‘od. P).