SECTION IL. — CHAPITRE III. 189 Par exemple, si l’on pose ë=—> (mod.7), il suffira de déterminier une racine primitive de chacune des quatre congruences æ8—1=0, x —1=0, x —1=0, x* —1=0 (mod.7), en procédant comme nous l’avons fait dans les cas que nous avons examinés précédemment. On reconnaît faci- lement que 1+7 est une racine primitive de la con- gruence proposée; cette racine appartient à la con- gruence irréductible (z—1}*+2=0 (mod.7). Enfin, dans le septième degré, nous connaissons une fonction irréductible, par le théorème du n° 360, savoir : x"—x—g, g étant différent de zéro. Si l’on désigne par ; une racine de la congruence irréductible àü—i—3=o (mod. 7), on reconnaîtra facilement que z est racine primitive pour la congruence a'HA _ 1=0 (mod. 7).