SECTION IIL. — CHAPITRE III. 187 admet 2 comme racine primitive; il reste donc à con- naître une racine primitive de la troisième ais=—i (mod. 7); essayons d’y satisfaire en posant æ — ai + bù; en substituant cette valeur, réduisant au moyen des for- mules (4) et égalant ensuite à zéro les coefficients des puissances de , il vient — 9à*+b + 3a?6 — b$—o \ 2 à3 + 3 a? b? — 2ab+* 0 | ‘ ? ; (mod. 7), — at'b+— 2025838 — BH 10 — 3a;— 20k +ab+#+1 =0 ! / congruences auxquelles on satisfait en posant a=3, b=— ». Ainsi 3i+ ai? est une racine primitive de x?3— 1 —0o, car il est facile de s’assurer qu'elle ne sa- tisfait pas à x*—I 0. La congruence proposée admet donc la racine primitive x=28(3i+28)= — à — 3ÿ, ou, en réduisant, (5) æa=—2+i+32+a8, On tire de là \m2—_———1-—i+i2——3i'”', (6) d .’L‘3=—I+Ï_:— 32e ').13, (æ*=3—3z+f«*, et, en éliminant :, on trouve } 3 e — (7) — 23 — 2x —2=0 (mod. 7)- Si l’on désigne maintenant par à une racine de cette