176 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. rollaire II du n° 364, de former les congruences 99 X (2) X* —1=—0, X —1=0,\X*_—1=o.. [mod. p, F(=)], et de chercher des racines de ces congruences qui appar- tiennent 1‘esp€Ctivcment aux exposants a?, q*, es Ces dernières racines peuvent être nommées primitives à l’égard de celles des congruences (») auxquelles elles se rapportent. S1 la fonction modulaire F(x) est choisie parmi les foncetions irréductibles du degré y qui appartiennent à l'exposant p'—1, il est évident que les p’— : racines de la congruence (1) seront les résidus des puissances « v 9 v , M R en g ETE P car œ est, dans ce cas, une racine primitive de la con- gruence. 270. Lorsque l’on connaît une fonction irréductible F(x) de degré v, relativement au module p; et qu’on a obtenu, au moyen de cette fonction, une racine primi- tive de la congruence (1) XP—{— 1=0 [mod.p, F(x)], on peut trouver facilement toutes les fonctions irréduc- tibles dont le degré est égal à v ou à un diviseur de y. En d’autres termes, on peut effectuer la décomposition de la fonction N v P x"ou XE Xx en facteurs irréductibles suivant le module p. En effet, soit X, une racine primitive de la con- gruence (1); toute puissance X% sera racine d’une con- gruence telle que {2) J‘(X,EO [mod. p, F(z)], d