SECTION III. — CHAPITRE III. 175 de p”"(p”—1) et, par suite, un diviseur de p* —, car cet ‘exposant ne renferme pas le facteur p; on à en consé- quence n als $ \ Xr"— 1=0 [mod. p, F(æ)|. Mais cela est impossible, puisque n est < u; donc les résidus des puissances (2> sont distincts. Corortaine. — Si F(x) désigne une fonction irré- ductible du degré v suivant le module premier p, la congruence F(X)=0o [mod. p, F(x)] a pour racines les résidus minima des v puissances P p* B” æ, xP, XP, 00., LP. » Des racines primitives de la congruence xP— _— 1=0 [mod. p, F(=)]- 369. Quelle que soit la fonction entière F(x) de de- gré v, irréductible suivant le module premier p, parmi les p'— 1 racines de la congruence (1) x> 1=0 [mod.p, F(«)], ilyena o(p*—1) qui appartiennent (n° 363) à l’expo- sant p'— 1 ; nous les nommerons racines primitives. Si X désigne l’une quelconque des racines primitives, les racines de la précédente congruence seront les résidus minima des puissances Z 2 73 Y— x x 15 REN Le nombre p'—1 étant décomposé en un produit aRqrr"... de facteurs premiers, pour avoir Une racine primitive de la congruence (1), il suffira, d’après le co- rr rrr e - é éc