SECTION III, — CHAPITRE III. 169 d’où il résulte que, si l’on substitue chacune des n fonc- tions (1) à X dans la fonction n X”—1, on obtiendra » résultats qui seront divisibles par F(x) suivant le module p; done, d'après la proposition du n° 345, il n’existe aucune fonction réduite autre que les résidus des fonctions (1) dont la puissance n* soit divi- sible par F(x) suivant le module p. Désignons maintenant par 7n l’exposant auquel appar- tient X“, c’est-à-dire le plus petit nombre tel, que l'on ait 5 x =T mod. p, F(x)1. Î Ë ‘ ] \ 4 La congruence (2) exige que » soit un multiple de m; inversement, comme X, appartient à l’exposant », la con- gruence (3) exige que me soit un multiple de n, et, par suite, que æ soit divisible par n, lorsque e est premier à n. Donc on am= n, dans cette hypothèse; ainsi X< ap- partient à l’cx13osant n lorsque e est premier à n. Mais, si net e ont un diviseur commun 9 >1, on aura n e m {Xfi°=(XÊ> =1 [mod.p, F(æ)]; et, par conséquent, X* n’appartient pas à l’exposant n. Si donc il existe des fonctions réduites appartenant à l’exposant n, le nombre de ces fonctions est égal à o(n), © (n) indiquant, comme à l’ordinaire, combien 1l y a de nombres premiers et non supérieurs à m. Cela posé, toute fonction réduite appartient à un expo- sant qui est l’un des diviseurs = Hl de p’—1, Si donc on nomme V(n) le nombre des fonc- 72