e PE S PE = 169 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Maintenant, comme le polynôme E(E) est un divi- seur de r-——1__ cETE 5 ï PL Lany » la congruence (4) E(g)=0o (mod. p), qui est du degré 2/7!, aura oi=! racines, et en désignant ces racines par on aura (> - ME—é)...(E—B) +polt (5) E| w(E) étant un polynôme à coefficients entiers. Les formules (3) et (5) donnent pour E(E) des valeurs qui doivent être ident1ques, si on les ég ale enL1€ elles, et qu’on pose % À 2 0 z Ô æ © e o se Je 1= 0= s— 4= 7 7 2 = = x æ il viendra, après avoir chassé les dénominateurs, A æ x}\_} zû__ l l( Ëg '2-—f4'20> _+_],q,\_7_\‘; D(x) désigne un polynôme à coefficients entiers, et le signe H exprime le p1‘0duil des facteurs que représente l"exprcssion x"A___ £g‘°.r' _ gÊ'J’ > quand on prend pour € chacune des racines de la con- gruence (4). Les facteurs dont 1l s’agit sont précisément les fonctions irréductibles que nous voulions trouver.