SECTION I. — CHAPITRE Irr, 161 nous savons d’ailleurs que * (uP+c'1’)= (u+o)P+lîz(u, e); et il estévident que 7 (u,v) est divisible par u+v, en sorte qu’on peut écrire {u”+v")={u—}—v)”—p(u—i—o)f}(u, V), f étant un polynôme à coefficients entiers. En égalant entre elles les deux expressions du produit que nous considérons, après avoir supprimé le facteur u + p, on obtient l’identité suivante : p=1 (1) (u+v)"‘1 + (uv) ? = (uËi_l +— u2i—i) F (u, 9) + PpF(u,e), où f et f sont évidemment des polynômes à coefficients entiers, fonctions symétriques des variables u et v. Remplaçons maintenant u et v par les deux racines de l’équation X3—EX —I= o, où E désigne une nouvelle variable; toutes les fonctions symétriques entières de u et v, à coefficients entiers, deviendront des fonctions entières de E, dans lesquelles les coefficients seront encore entiers; la formule (1) donnera donc (2) EP—1——I=E(‘:ÇÏ en posant ou s-[e, eten désignant par (E), X (E) des polynômes à coeffi- \ cients entiers. N e + L ‘ + F QeN » 1w | e () Ey=[E+ S. — Als. sup., 1I, “LE