152 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. se réduit à 1 pour À= 2, etalors 1l peut arriver que les deux premiers termes de l’expression (4) renferment le facteur 2 à la même puissance. Toutefois ce cas ne se présentera pas si p*— 1 est divisible par 4, c’est-à-dire si p est de la forme 4m + 1, ou si, p étant de la forme 4m—1, u est un nombre pair. Dans ces deux cas, la présence du facteur 2 dans à n’exige aucune modifica- tion, et la formule (6) subsiste. Mais il n’en est plus ainsi, dans le cas qu’il nous reste à examiner, savoir celui où p est de la forme 47m—1 et où u est un nombre impair, À étant divisible par une puis- sance de 2 supérieure à la première ; 1l importe d’exa- miner ce cas avec attention. Dans l’hypothèse où nous nous plaçons, on a RS t N A S, t et s étant des nombres impairs et les exposants i, j étant égaux ou supérieurs à 2. Comme j est impair, la première de ces formules donnera p*= 28—1, 0 étant un nombre impair ; en outre, l’exposant q devant être pair, comme on l’a vu plus haut, on aura, en élevant la précédente formule à la puissance q, ,pzn(l—1 — 91—1 0 : r]_ä q {/_I>2z‘g pe=l D0 I 1=3 dus, 7)4 ; 711 e E 1E TY 9!(k—1) gé—1—— ; ( 20e -; le rapport du terme général entre parenthèses au premier terme est e = k = X) 9'(k—1) (_/__' 17 e se 4= T) k i étant au moins , sil’on prend & >1, le dernier facteur