SECTION III. — CHAPITRE IIT. : 151 mis sous la forme d’un produit de trois facteurs, savoir ( \ K \ æ&—1 pr—1 (5) \q—1)(fl—fl)-—-((ï——fl+l)\< u C 9 \ 1.2...(Æ—1) 0 k les deux premiers facteurs sont des nombres entiers ; quant au troisième facteur, il est supérieur à 1+(4—1)(9—1) f (&—1)(0 — 2) ] uù 1H —— ï Æ ar suite, supérieur à 1, quand 9 est >32, puisque À est P 381 | 7é} l ; ; ; : Jn au moins égal à 2; la fraction irréductible égale à renferme donc le facteur 9 à son numérateur. Le premier membre de la formule (4) étant divisible par (*, par hypothèse, il faut, d'après ce qui préeède, que q soit divisible par 6°. Si donc À est un nombre impair, 4 sera divisible para. Réciproquement, si q est divisible par }, l’expression (4) l’est évidemment elle-même, et en conséquence le pre- mier membre de la formule (3)est un nombre entier. On voit alors que v-étant le plus petit nombre tel, que p*—1 soit divisible par n, on doit avoir q — et, par suite, (Ô/‘ V— K. Examinons s’il y a lieu de modifier cette conclusion quand à est pair. D’abord si À est double d’un impair, l’expression (4) doit être divisible par 2, ce qui exige que 4 le soit aussi; donc, pour que l'expression (3) soit un nombre entier, il est encore nécessaire et suffisant que q soit un multiple de À, et la formule (6') subsiste. Supposons donc que À soit divisible par une puissance de > supérieure à la première. Quand on fait 4 — 2, dans 41 l’expression (5), le troisième facteur devient ; 1ln’est Jamais inférieur à 1, car Æ est au moins égal à 2, mais il