SECTION III. — CHAPITRE III. 145 - si l’on désigne par 9 le plus grand commun diviseur des nombres p’— 1 etn, et puisque F(x) appartient à l’ex- posant n, il est nécessaire. que l’on ait 9=n. On voit aussi que n doit être un diviseur propre à p’— 1, c’est- à-dire que » ne peut diviser p*—1 si u est C v; car s’il en était autrement x?— 1 serait un diviseur de xP*+ __ , et cette dernière fonction serait par suite divisible par F(x) suivant le module p, ce qui est impossible dans l’hypothèse de y < v. Cela posé, nous nous proposons de déterminer le nombre des fonctions entières de degré v, irréductibles suivant le module premier p, et qui appartiennent à l’ex- posant n diviseur propre de p'— 1. Le nombre n étant décomposé en facteurs premiers, soit ‘ 1= qÎl qî=. ; .qZ;fl, J1> J2> <> Ym étant des nombres premiers inégaux; posons aussi nN z L e e <.z:'/l — |) (.r‘/î — [) . (.7“/… —|>_ n (S ue n Xî — <_7:’/1'/‘) __1> \Æ‘]l'/« _1> EUN <,y—f]m—1//m __1)’ n X… — ('L_l/1 Ga--Jm — I >7 la fonction X4 sera, comme on voit, le produit de m(m—1)...(m—k+1) 12 facteurs qui se déduiront de n mn ÎK x *— 1 en prenant pour 6; les produits k à Æ des facteurs J4> 425 <-+, Gm- S1 l’on désigne enfin par V le produit de e ; - â Lx i toutes les fonctions entières de degré v, irréductibles S. — Alg, sup., IL. 10