SECTION IIL. — CHAPITRE IIT. 138 dule p, on pourra trouver un entier œ, tel que aa=1 (mod.p), et par conséquent le produit « o(x) pourra se moettre sous la forme & u\.r): Fk7‘) +p y_k.1:), F(x) désignant une fonction entière dans laquelle le coefficient de la plus haute puissance de x est l’unité ; on peul évidemment supposer que tous les autres coeffi- cients soient rabaissés au-dessous de p. Une fonction entière ]*( x) à coefficients entiers sera dite irréductible suivant le module premier p, siellen’est divisible, suivant ce module, par aucune fonction entière d’un degré inférieur au sien et si, en outre, le coeffi- cient de la plus haute puissance de x est égal à 1umtc 3}1. Tuéonème L — Si les deux fonctions q(x) et v(x) n'admettent aucun diviseur commun, suivant le module premier p, on pourra trouver deux fonctions entières Ü et V, telles que l'on ait identiquement Up(x)—Vÿ(æ)=1 (mod. p). En cffet, désignons par « et b les coefficients de la plus haute puissance de x dans ÿ(x) et dans w(x), on pourra poser 9(æ)=aÂ, v(xæ)=bB (mod.7)» / A et B étant des fonctions entières dans lesquelles la plus haute puissance de x à pour coefficient l’unité. Cela posé, exécutons sur les polynômes / À et B l’opéra- tion par laquelle on détermine le plus grand commun diviseur, en négligeant les termes multipliés par p et en ayant soin d’ajouter à chaque reste un p()l\ nôme de la forme p }(x), choisi de manière qu'après cette addition le resie en question soit divisible par le coefficient du