SECTION III. — CHAPITRE IT. 119 proposéc en prenant xa=—+bé Remanque. — Lorsque le nombre N estun multiple de p, cas que nous avons exclu, la congruence proposée exige que x soit divisible par p. Soit N—p27N', n étanl le degré de la plus haute puissance de p* qui divise N; la congruence proposée ne pourra êtré satisfaite que si x est divisible par p?. Posant done x =p" , elle se réduit à 2 z — N=o (mod. prsalt) ja / et celle-ci sera impossible ou n'aura que la racine z—0, si N’ contient encore le facteur p. 338. Considérons maintenant la congrnence æ—N=0 (mod.2"). Soit 227 Ja plus haute puissance de »? qui divise N, il est évident que x doit avoir le diviseur 2?; posant donc N 3N 0— D7s notre congruence deviendra 2—N= (moil. 2*-??). D’après cela on peut suppoâer que N sbiti1npaîr ou double d’un impair. Si N est double d'un impair, il est évident que la proposée n’est résoluble que dans le seul cas de y=— 1, ei-l’on peut faire abstraction de ce cas. Soit done N impair; si v=2, la congruence proposée se réduit à a2—1 —0 ouà x’+1Z0 (mnd.4}; la première est seule possil>lc et n’a que les racines = 1. Lorsque vest>2, la congruence proposée n’est possible que si N est dela forme 8 +1, et l’on obtient facilement