1 ” 4 118 COURS D’ALGEBRE SUPÉRIÈURE. ; Or, en développant la puissance (€+ yN)', on trouve un résultat de la forme (3) (E+VN)'=a+6/N, œ et 6 étant des entiers, et il en résulte (4) ‘ï\£î——-\_\‘/ )=a 6évN, par suite (5) a2 — N&@—(E—N)=0 (mod.7”). La formule (3) ou (4) donne aussi . ‘J'u—l\\v 2n vs t —— EN+..., T2 1) ( 2) - v([y — 1) (9 \ ; 6= -&1+ = PN S ! rs s> ou, à cause de la formule (2), = v -F æ a:”“:_’{l+_\_—2__) +...._l=_'z"—la_' (mod. p), Es ; 5 ‘ E = - v u;v——[\€‘)—2\ p 6== t" s2 — e e S (mou:p), I F.219 3 ce qui montre que p ne peut diviser aucun des nombres æ et &. Alors on pourra trouver deux entiers t et u, tels que l’on ait \ ((\,‘ ds 6t — p'u, et en substituant cette valeur de « dans la formule (5), 1l viendra 1 N) —0 (mod. p); C C ou \ 9 2 ( \ 55 2-N=0o- (mod.y”), d’où il suit qu'on aura les deux racines de la congruence