16e — COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. d’où, ? et u étant des indéterminées, («?+ 6?) (22 + u*) — (at+Eu)?+ (au — 61)/?=0 (mod. p). On peut déterminer t ct u par la condition L aeu — 6t= D, et il est évident que la congruence proposée sera vérifiée en posant =H (at+eu) | mod.p). Il nous reste à examiner le cas'où p ala forme 8h +1, Alors il n’est pas possible, en général, de résoudre la congruence proposée sanstätonnements, et l’on est obligé * de calculer les termes de la suite P#N,;, 2p0+N, 3P #N 5.4 jusqu’à ce qu’on en trouve un qui soit un carré parfait. Cela ne peut manquer d’arriver ]01>({…* la congruence p10p0:cc C%tl)()bfl])lL et, comme le carré que l’on cherche est moindre que 7})°, le nombre des termes à calculer, 4 dans la suite précédente, ne pourrà jamais excéder —/)- Il peut arriver cependant, dans le cas qui nous oec upe, que l’on puisse trouver directement les racines deman- dées. bml, en eflet, 2* la plus haute puissance de 2 con- tenue dans p—1 et posons p=2%1, % étant un nombre impair et y étant au moins égal à 3. La congruence proposée étant possible, on à 8 Pn ] ; e taes1 ‘ ä , Nsx =1 (mod.y, et il-‘se peut que l’on ait aussi Me=s-1-{mod.p}