SECTION IIKL. — CHAPITRE II. UEF et, en multipliant par N, N N=0. (mod.p), d’où il suit que les racines de notre congruence sont T= —N Soit actuellement le cas où p est de la forme 4k—+—1; les nombres 4k+ 1 comprennent les deux formes SA+1, 8k+5, que nous allons considérer l’une après l'autre. Supposons . p=84+5, la congruence proposée étant possible, on a N#+#2_ 1=0 (mod.p). ou ; ( N2K+1 ( N2%+1 —— _— , (N3##+1 4- 1) (N 1)=0o; (mod.p); yn a donc N#H _ 1=0 (mod.p), ou N 1=0 (mod.p). Si c’est le premier cas qui a lieu, on aura N" _ N=0o (mod.p), et les racines de la proposée seront en conséquence . x=+ N" < (mod. p). Si au contraire le deuxième cas se présente, posons | | 0=N (mod.p), d'où 6= N4+# —— N (mod.r}, | H | la congruence proposée deviendra a? + #0 (mod.p). Orle nombre p, qui est de laforme 4k +1, est la somme de deux carrés 1>1‘cmi01‘s entre eux. On peut donc poser