110 COURS D ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 333. La formule (7) du numéro précédent exige seu- lement, comme nous l’avons déjà dit, que q ne soit pas divisible par p. Si l’on y suppose q = 2, les expressions sA E (î ) » <» qui y figurent se réduiront toutes à zéro ; on , aura donc p ï (mod. 2); î Il ; 1 - ; ; psx d’ailleurs, L-" est un nombre impair, et l’on peut écrire \ (p+—1)(p—1) , 8 Ï (mod. 2). Si, en second lieu, on pose q =— 2, les expressions & ; G 29 ; ; 114 E <1 ) ,F ( 21 \, … de la formule (7) se réduiront toutes P;; (R à — 1, et l’on aura p 1 p H1)(p—1) - p—! 555 8 ; 2 p=i— (mod. 2), ou (p—1)(p —3) —U (mod. 2). TR D’après cela on a, pour tout nombre premier impair p, (p+1)(p—1) / (p—1)‘}p—: ; N 1= >> _——(__1) 9 ——_\—I) ë E /} “ l) formules qui exprimcnt le théorème suivant : Tuéorème. — Le nombre + » est résidu quadratique de tout nombre premier de l’une des formes 8k + 1, 8% + 7 ;il est non-résidu de tout nombre premier de l’une des formes 8k +3, 8k +5. Le nombre — » est résidu quadratique de tout nombre premier de l’une des formes 8k+ 1, 8k + 353