SECTION III. — CHAPITRE II. 109 La comparaison des formules (11) et (13) donne ÉÉN y.+v=£-——l— (mod. 2); 2 2 J d’ailleurs on a, par les formules (4)et (12), p-er() P d d e E v 2s [P Cs ce qui est la formule que nous voulions établir. “ Remarque. — Il faut remarquer que le nombre — 1 est résidu de tous les nombres premiers 4i +1, et qu'il est non-résidu des nombres premiers 4{ + 3. On a effectivement, par la définition du n° 311, .. cette égalité est d’ailleurs comprise dans notre for- mule (8); car, si q =— 1, chacun des termes du second membre de cette formule se réduit à —1, et l’on a p=et p p= - = Tl (mod. »). On conclut de là que la congruence aæ+1=0 (mod.p) est possible ou impossible suivant que p a la forme 4i+ 1 on la forme 4i +3. Si le premier cas a lieu, le nombre p divise la somme de deux carrés, et il est, par suite, la somme de deux carrés, résultat auquel nous a déjà con- duit le théorème de Wilson.