SECTION III. — CHAPITRE IL. 105 \ u équations distinctes, et, en ajoutant toutes ces équations, 1l viendra . F«ï> + E<4—q> ds b E[(_p = 3WJ + E[—————(IJ—I )(l] \P P P “ x <1> —R (31)_…_ 2E (/__ 1>. P P 22 p Mais, comme on n’a besoin de la valeur de y que pour savoir si elle est paire ou impaire, on peut, dans cette formule, supprimer tous les termes de la seconde ligne, lesquels sont des nombres pairs, et nous écrirons sim- plement e (122\ . pf4e (5\ lL/.—l.« <—)— +E +{r—0), d’où il résulte que l’on a, quel que soit n, {/)—nïq n EJ —— |=(g—1+) —E | — ; [ /) \q I) [) )’ « » n en ajoutant au second membre le nombre pair 2 E