SECTION III, — CHAPITRE IL. 103 En effet, soient (2) , A9, ++05 M ; Ol 5 les } = % — p restes positifs, et (3) -@a 1. % les u restes négatifs. Il est évident que l’un des restes ne peut être zéro ; de plus, deux résidus pris dans l’une des suites (2) ou (3) ne peuvent être égaux entre eux ; mais je dis, en outre, qu’on ne peut avoir a, = b,. Effectivement, soient xq, 69 les multiples de ÿ qui ont fourni les restes a,, et —b, ; l’éga- lité a, = b, entraînerait aqE——€{/ ou (a+6)qEO (m0d-P)a ce qui est impossible, puisque q n’est pas divisible par p et que la somme æ + 6 est inférieure à p. Il résulte de là que la suite formée des nombres a et b comprend les mêmes nombres que la suite ])-———1 1.35 5 > Les nombres de la suite (1) étant respectivement con- grus aux nombres compris dans les suites (2) et (3), le produit des uns est congru au produit des autres, et l’on a \ = (1.9.3...P l> q> —(— 1)*a,az... à b, ba... B, (mod. p), et en divisant les deux membres respectivement par les produits À OIS ]_7_l 2 ï. 9 Llla2...dlblllg...l)æ*, qui sont égaux entre eux, comme on vient de le dire, on