SECTION III. — CHAPITRE IT. 99 et si l’on désigne par À ety des nombres entiers tels que «+p), 6+pu A =B soient des entiers, ces entiers seront nécessairement ré- sidus; on aura donc «a+p) __ , 6+pyu ——r=t‘, —__—13‘—*Eu2 (m()d.p), ou a=Aêf, 6=— Bw (mod.p); et comme 6 —a=C, on aura aussi A®&+Bu+ C0 (mod.7), ce qu’il fallait démontrer. Rrmanque. — D'après ce théorème, la formule t?2+u>+1 00mprend des nombres divisibles par p, quand p est >5. Mais la même chose a lieu encore dans le cas dep=5, pourt=o,u=2; dans le cas de p=— 3, pour t=—u=1, et dans le cas de p=— 2, pourt=—0, uw= 1. D'ailleurs la formule t&?#+u?+1 est comprise dans cette autre plus générale, P*+Q? + K?-+ S?; d’où il résulte que tout nombre premier divise une somme de quatre carrés premiers entre eux. 331. Cetté conclusion va nous conduire à une consé- quence importante qui se présentera comme corollaire de la pr0position suivante : Trforème. — Zout nombre qui divise la somme de quatre carrés premiers entre eux est lui-méme la somme de quatre carrés. Supposons que p divise A* - B* +'C+ D,