SECTION Il. — CHAPITRE IT. 89 v étant >2. Chacune de ses racines a est telle que l’on a v—2 t a’ a—w =1 (mod. 2*) l’exposant auquel @ appartient divise donc les nombres ( et 2**, ainsi que leur plus grand commun diviseur; nous désignerons par 2° ce plus grand commun diviseur, et alors à sera racine de la congruence 25 . (2) æ— 1=0 (mod. 2"); réciproquement la proposée admettra toutes les racines de la congruence (2). Il est évident que celles-ei ne sont autre chose que les nombres qui appartiennent à l’un des exposants Si t est un nombre impair, on ad=0 et les con- gruences (1)et(2) n’admettent pas d’autre racine que r. Supposons d >0o; nous avons vu que, siy est >1, il y O S ® e » n - , T A u , a 2% nombres qui appartiennent à l’exposant 2*, et qu'il y a 3 nombres appartenant à l’exposant 2; le nombre des racines de la congruence (2) est donc 130 TRN 0N ou 2**. On a ainsi cette proposition : Tatorème..— Si t'est un nombre pair, le nombre des racines de la congruence x*—1=0 (mod. 2") est e'gal au double du plus grand commun diviseur des nombres t et'aYs*; Ces racines formeront deux périodes; car désignons v—2 parcun nombre appartenant à l’cxpusant 2°7*, et posons 9yv—2 s55 a—=c (mod. 2*), il est évident, d’après les développements qui précèdent,