SECTION TII. — CHAPITRE IT. 85 sances (5) t e suivant le module p” ou 2p”. On a ainsi ce théorème : Tuéorème I. — La congruence x* —1= (mod. p” ou 2p*) a autant de racines qu'il y a d'unités dans le plus grand commun diviseur desnombrestet p" (p—1). Ensuite soit « un quelconque destermes de la suite(5). Pour que l’on ait (at=1 ou a'®Æ1 (mod.p* ou 2/"), | / il faut et il suffit que Æi0 soit divisible par n0, ou kt par n, Si ÿ est premier à n, cette condition équivaut à celle de la divisibilité de Æ par n; dans ce cas, a‘ appartient évi- demment à l’exposantn. Mais, si ë et æ ont un plus grand commun diviseur d supérieur à 1, on aura e Evet (atd= =1 (mod.p* ou 2p’), e ° , n x et a* appartiendra à l'exposant S* On conclut de là cette = C autre pl‘()l)05iti0fi ; Tnéorème II. — La congruence x"=1 (mod. p* ou op’), dont le degré n est un diviseur de p*(p—1), a autant de racines primitives, c'est-à-dire de racines qui appartiennent à l’exposant n, qu'il y a d'unités dans le nombre 9 (n) des nombres premiers et non supé- rieurs à n, Du module >. 323. On a vu, au n° 305, que si v est >2, la puis- sance de degré 2”* d’un nombre impair quelconque est congrue à l’unité, suivant le module 2°. Le seul cas de