84 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. On aura aussi a”=1 (mod.p” ou 2"), ce qui montre que toutes les racines de la congruence p1‘0})0566 apparticnnent aussi à la suivante : (2) æt—1=0 (mod.p’ ou 2p’), dont le degré n est un diviseur de p* *(p — 1). 8 p / Lorsque n est égal à p(p—1), la congruence (a ] 5 | , S ; devient (3) æF (P-) — 1=0 (mod. p* ou 2p”), et nous savons qu'elle a pour racines les p**(p—1) nombres premiers au module et non supérieurs à ce mo- dule ; en outre, parmi ces racines, il y enag[p" (p—")] de primitives, et nous avons fait connaître un procédé pour les obtenir. Si a désigne une de ces racimes primi- tives, les résidus minima des puissances 9 v—l, (4) r4a 4,," a r seront précisément les racines de la congruence (3). Supposons que » soit un diviseur quelconque de P*(p—1); posons P'(p—1) =n0, et considérons un terme quelconque a” de la suite (4) Pour que l’on ait / (a#)*= 1 ou , a”?=— 1 (mod.7* ou 2p), il faut et il suffit que mn soit divisible par nD, c’est-à- dire que m soit un multiple de0. Donc la congruence (2) a précisément n racines qui sont les résidus des puis-