78 7 COURS D’ALGÈBRE sUPÉRIEURE. Kos … F,_, étant des entiers. La dernière de ces éga- lités peut être mise sous la forme v—t ‘ 8 — 1 (modp*, et elle montre que g ne peut être racine p1‘:‘mtn*c pour le module 7”, quc si n—p—1, et, dans ce cas, g est racine p1”1nut…} de P» 218. Tréonème I. — Une racine ])Ill71!/lV€ 2 du mo- dule premier impair p est racine primitive pour le mo- g/) —1 T dule p’, v étant >1, lorsque n'est pas divisible par p. Au contraire, gn'est pas racine primitive pour le PEN . module P, I/U(171(Ï 2.4n est divisible par p. [) En elffet, dési signons par ? l’exposant auqvel g appar- tient 1“*I&lw&n ent au module p”; on aure g'=t (mod.p’), et par conséquent @ =1 (mod.p). Comme æ est, par hvpothèse racine primitive de p. la 5 2t SI ? F / congruence p1‘é«‘<"dunt@ exige que ? soit un 1nuîtlplu de p — 1; d'ailleurs t est un diviseur de \\} 2 donc on a Z“=]fl(/)— IÏ, ) étant un nombre inférieur ou égal àv— 1. Cela posé, dv—wnnn— par:l’ exposant de la plus haute puissance de p qui divise g?-!—1, On aura @ 1 + Ap*, k étant un entier non divisible par p; on a ensuite, comueau numéro précédent, par des élévations succes-