SECTION III, — CHAPITRE II. 77 second lieu, lorsque p=4k+3, sia satisfait à la con- p gruence x * =1 (mod. p), le nombre —a satisfait PS ; àx * =— 1 (mod. p); donc l’un au moins des nombres a et — a n’est pas racine primitive. Des racines primitives dans le cas où le module est égal à une puissance d’un nombre premier impair, ou égal au double d’une telle puissance. 317. Tuéonème I. — Si p est un nombre premier im- pair,et queg soitune 7‘acineprinzitivc pour le module LS > oùu son résidu minimum, relativement à p, sera egale- 5 , 5 ment racine primitive pour le module p. « . En effet, désignons par » l'exposant auquel appar- tient g, relativement à p, On aura C gr=1 (mod.p), ou g* =1+ kp, k étant unentier. En élevant cette égalité à la puis- sance p, 1l vient [ D Dus= T g””::x—Æ—Ü—/Ï‘p—ä-—l———-—U )À"2p‘l+...; I Li2 dansle second membre de cette formule, tous les termes, à l’exception du premier, sont divisibles par p?; on a done app=— e K p>, k, étant un nombre entier. On trouvera de même, par des élévations successiyes à la puissance p, 2 g"” =—Ii+ Â._,])3,