SECTION TII. — CHAPITRE II. 73 plus élevé que celui auquel appartient le nombre a duquel on est parti. En poursuivant la même marche, on arri- vera donc certainement à un nombre appartenant à l’ex- posant p—1; ce nombre sera une racine primitive de p. Mais, dans la plupart des cas, il se présente des cireon- stances particulières qui permettent de simplifier l’appli- cation de la méthode. 314. Premier ExEemPLE. — Onr demande une racine primitive du nombre premier 71. Prenons le nombre 2 et cherchons sa période. A cet effet, on formera la série des puissances de 2; chacune d’elles s'obtient en multipliant la puissance précédente par 2; mais, avant de faire cette multiplication, il faut avoir soin de retrancher 71 de la puissance qui sert de multiplicande, lorsque celle-ci est supérieure à 71. On trouve que la période de 2 a 35 termes qui sont f sTRL te 2;, 428 16340455 < 2 (‘[ , 95 eF , 19, 30, DO, _{9, 277, 4» e \ | œ Æs 2 U , , - 23.615 1540725 ( £ O 249406195555 — — < Or O, ro 205 40,7 9, +0, 360; 4- Le nombre 2 n’est donc pas racine primitive de 71, etil appartient à l’exposant 35; mais il est facile de voir que le complément de 2 à 71, c’est-à-dire 69, est racine pri- mitive. En effet, de l’identité 69 = 71 — 2, on tire 60?Z 2* ; (mod. 71 693£2”J ) A d’où il résulte que la suite des restes fournis par les puis- sances de G9 pourra se déduire de la suite des restes des