L | . i & E rrs DE r E A E PEA EEEE CES 2 ESES MON SE T 64 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. en conclura que le nombre des racines primitives de ia proposée est / ï A / E \ mir es = I—— j+++{1—-]=olm pn es = ce qui est le résultat déjà obtenu. Théorème relathaux résidus des puissances dont le degré est un diviseur de p—1. 910. Tuforème. — Le module p étant supposé pre- mier et 0 étant un diviseur de p—1, soient x, et E deux nombres compris entre zéro et p3 si l’on a ( æ —E (mod.p), On a aussi /_1_*1 18 =1 (mod.p); et, réciproquement, si l’on a P==i =1 (mod.p), 3;‘ la congruence æ'==E (mod.p) a & racines. La première partie du théorème est évidente; car, si l’on a —E (mod:p), X , » ° ]) — I en élevant les deux membres à la puissance — —» on a 0 p—1 p=1— e 0 ) b E (mod. p), et, à cause du théorème de Fermat, —— (mod. p).