62 COURS D,ALGÈBRE SUPÉRIEURE. et désignons par « une racine primitive de la première, par b une de la deuxième, etc., par / une de la dernière. I résulte du théorème démontré au n° 307 que le résidu du produit abvçat est une racine primitive de la proposée v OR (5) qqs — 1 (mod. p). Mais on peut aussi établir ce point de la manière sui- vante : il est d'abord évident que ab...[, ou son résidu, est racine ; car on a I afé=—— 1- D <— {mod. p), et, par suite, Brv., …‘7‘—— (ab.: . /@ r <=1 (mod.p). Maintenant, si ce produit n’est pas une racine primitive de la proposée, il sera racine d’une congruence v ( \ w=1 (mod. p), dont le degré 0 sera un diviseur de m, et il y aura au moins un facteur premier de m, qui entrera dans 0 moins de fois que dans m. Admettons que le facteur q soit dans ce cas; alors 0 divisera q* —! 7* . . .s*, et, par suite, ab...l sera racine de la congruence u1 y 4 54 æ s=1 (mod.7); on aura donc ; pNqtct) e sP _— ' e (ab: :.2)4 =1 (mod.p); mais On a aussi }/]\ ; _[‘)‘I:—l"v- ce ce [ ; \ =1 Mmodp);