SECTION III. — CHAPITRE II. 61 “ * x SEx LN partient aussi à une troisième congruence de même forme, et dont le degré divise celui de la proposée. 309. Voici maintenant comment on peut établir l’exis- tence des racines primitives. Considérons la congruence (1) am=1 (mod.p), et supposons d’abord que m ne contienne qu’un seul fac- teur premier g, que l’on ait m= q ; toute racine non primitive de (2) æf*—1 (mod.p) appartient à une congruence & æ=1 (mod.p), dont le degré 0 est un diviseur de q* et même de q*—*; et, par conséquent, cette racine appartient aussi à la COI]gI‘U€IÏCÔ (3) af =1 (mod. p). D'ailleurs les racines de (3) sont aussi racines de (2); leur nombre est g#*, par conséquent celui des racines primitives de la proposée est (];A_ qll—l ou qÏ’— <] — l> ° q Supposons maintenant m quelconque, et soit À N q Ns d ?, <, $ désignant des facteurs premiers inégaux. Considérons les congruences (4) al*=1 (mod.p), 2>1 (mod. p),…, « ==1 (mod. p),