Or SECTION TIX. — CHAPITRE IL. 9 Si m est premier avec p—1, ON à 9 — 1, et dans ce cas la congruence x” =1 n’a pas d'autre racine que l’unité. D’après ce qui précède, on peut borner l’étude des congruences binômes de la forme æm=1 (mod. p) à celles dont le degré m est un diviseur de p — 1. Tnéorème II. — Si a désigne une racine quelconque de la congruence de module premier an— (mod. p), dont le degré m est un diviseur de p—1, toute putssance de a ou son résidu minimum est également racine. La congruence a"=1 (mod.p) entraîne en effet ank=1 ou (ak)"=1, . T0 e 7 4 et si b désigne le résidu minimum de a*, par rapport à p, on a at== 6 -dou - b'1= r par conséquent, tous les termes de la série aa 05 , ou leurs résidus minima, sont racines de la même con- gruence. Or, à cause de a”=1, on a aussi £l…+1 =4, am+2 — (l2, La série précédcnte contient donc au plus m termes avant des résidus différents, et ces résidus se reprodui- sentpéri0diquenænt de men m. Si les m premiers termes 2 3 m—i m a,a,a,...,a , a ou I