TT PRF es KO , à 20 COURS D ALGEÈBRE SUPÉRIEURE. pitre V de la Section I, en nous occupant des racines des équations binômes: il y à quelque avantage à faire ressortir le lien qui existe entre les deux théories. Tatorème I. — Les racines communes à deux con- gruences binômes de module premier p, m @=S1 (mod. p), =*=1 (mod. P), sont e'galcmezzt racines de la congruence =1 (mod. p), 0 étant le plus grand commun diviseur de met de n. x'— 1 est, en effet, le plus grand commun diviseur de E— Tet dé qte , Ce théorème est, par suite, une conséquence du corollaire démontré au n° 300. Il est évident que, réciproquement, chaque racine de la congruence x* — 1= r satisfait aux deux proposées, - Corortamre. — Si 6 désigne le plus grand commun diviseur des nombres m et p—1, la congruence binôme du module premier, a"==1 (mod.p), aura 0 racines qui appartiendront à la congruence æ=1 . (mod. P)- En effet, les racines de la congruence proposée ap- partiennent aussi à la congruence æ!—1=0 (mod.p), D'ailleurs, la congruence d—1= (mod. p) à Ÿ racines (n° °ÆÛÛ), puisque son premier membre est un diviseur de x?-! — 1 ; la proposée a donc elle-même 0 racines.