e e e r e é 11 v ;:__ b COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURF. Dansle premier membre de cette égalité, ceux des termes qui ne sont pas nuls sont respectivement égaux, d’après ce qui précède, aux termes qui occupent les mêmes rangs, dans le second membre; on peut donc supprimer de part et d’autre ces termes égaux. Mais, après cette suppression, il reste zéro dans le premier membre de l’égalité (7); donc il ne doit rien rester dans le second membre. D’où il suit que la suppression a porté sur tous les termes, et que l’on a quel que soit le diviseur d. CororrAmrr. — dly a 9(p— 1) nombres qui appar- tiennent à l’exposant P— 1, relativement au module premier p; en d’autres termes, il()" a, i'elzll‘ivemellt à ce module, G(p— 1) racines primitives. Bemarque. — Les nombres qui appartiennent, suivant le module premier p, à un exposant z égal à un diviseur quelconque de Pp—1, sont dits quelquefois racines pri- milives pour la congruence x* =1 (mod. p). Alors, d’après ce qui précède, cette congruence a n racines, parmi lesquelles il y enap(n) qui sont primitives. 307. Nous établirons encore lci une proposition fort importante qui trouvera plus loin son application. Tréorème. — Si deux nombres a et b appartiennent, relativement au module premier p, & deux exposants m et n premiers entre eux, le produit ab appartient à l'exposant mn. En effet, soit 5 un exposant tel que (a5)$— atbs=, (mod, P), on aura, par l’élévation à la puissance m, a”s pn r = (mod.p);