SECTION IIT. — CHAPITRE II- 55 ce qui montre que a° appartient à un exposant moindre que n. [ On peut conclure de là que, s'il existe un nombre ap- partenant à l’exposant n, suivant le module p, il y à pré- cisément o(n)nombres qui appartiennent à cet exposa nt. Cela posé, l’exposant auquel appartient l’un quel- conque des nombres (5) 1ù 3P . \ relativement au module p, est, comme on sait, égal à l’un des diviséurs (6) uE se / du nombre p— 1. Si l’on emploie le symbole v(d) pour exprimer combien il y a, dans la suite (5), de nombres qui appartiennent, à l’exposant d, on aura, d'après ce qui précède, v ((Z) . ç(d) ou Ÿ ((Ï) — 0; Pareillement, # (d'), d(d"), .… exprimeront combien il y a, dans la suite (5), de nombres qui appartiennent aux exposants d', d"', ... respectivement. L’unité fait partie de la suite des diviseurs (6), et comme 1 est évidemment le seul nombre qui apparlicnt à l’exposant 1, On à v(1j=t. Enfin le nombre des termes de la suite (5) étant p —1, et chacun d’eux appartenant à l’un des exposants conte- Ï nus dans la suite (6), on a l’identité d (l L {[d'\ d [ A 2s b(d)+y(d'}+ v(d")+...=p—1 RIas £ 2 Mais on a aussi (n° 286) L — À Â’Z'Î, — 3;{(::'”\) +eos .îîlg7 =—> Le donc (9) +{d)+ 4(d') + p(4d") +.…=p(d) + p(d') + p(d") e : | q À 4 | %