& 54 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURF. seront distincts et chacun d’eux sera la racine de la con- gruence, (>) at— 1=0 (mod.p); car l’hypothèse a?=1 . (mod. p) entraine \ (9). a” =1 (mod.p), ou (a°)*—1—0 (mod. p), e étant l’un quelconque des nombres O, 1I, 2, <.., &R—TE; donc, d’après le théorème du n° 298, la congruence (2) n’a pas d’autres racines que les résidus des puissances contenues dans la suite (1). Par conséquent, s’il existe des nombres, autres que a, qui appartiennent à l’expo- sant z, chacun d’eux doit être congru, suivant le mo- dule p, à une puissance telle que a°. Désignons par m-l’exposant auquel appartient a°; d’après la congruence (3), n sera un multiple de m; on a d’ailleurs ) (af)?Z1 (mod.p) ou a”°—; mod.), | (@) ( P) \ / et comme à appartient à l’exposant n, il en résulte que me est un multiple de n. Cela exige que m soit un mul- tiple de n, quand e est premier à n; les nombres m et n étant alors divisibles l’un par l’autre, ils sont égaux entre eux. Donc a° appartient à l’exposant n, si e est premier avec n; mais, si les nombres e et n ont un divi- seur commun 4 supérieur à 1, la congruence / (')h‘ R / =— ) ({1 =1" (mod.p) peut s’écrire =1 (mod.p),