SECTION III. — CHAPITRE IL. 53 ; - ; & ‘ ? e "acl j- si v est >2, eten conséquence @ nest pas racine prI mitive. Il résulte de là qu’il ne peut exister de racines primi-- tives que dans les trois cas suivants : 1° Si le module M est un nombre premier impair ou une puissance d’un nombre premier impair ; 9° Si le module M est égal au double d'une puis- sance d’un nombre premier impair ; 3° Si le module M est égalà 4. Dans le cas de M = 4, on a 0(M) = », et le nombre — 1 ou 3 satisfait évidemment à la définition des racines primitives. Le cas où M est une puissance de 9 supé- rieure à 4 mérite une attention particulière, bien qu’il n’y ait point de racines primitives, dans le sens que nous attachons à ce terme. Des racines primitives, dans le cas où le module est un nombre premier impair. 306. Lorsque le module M se réd uit à un nombre pre- mier impair p, on a o(M)=p—1. Dans ce cas, 1l existe toujours des racines primitives et il est facile d’en déterminer le nombre par le théorème suivant, dont nous empruntons la démonstration à Gauss : Tnéonème. — Si le nombre p est premier, et que n désigne un diviseur quelconque de p—1, il y aprécise- ment ©(n) nombres qui appartiennent à l'exposant n; le symbole ÿ(n) exprimant combien il y a de nombres premiers et non supérieurs à n. Supposons qu’il existe un nombre a appartenant à l’exposant n, suivant le module p ; les résidus des puis- sances \ ; 2 n—1 (.11‘ Y9 U, 7 1009 Q ! ; { 4 E S æ B r à e e ce