5o ; COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. et le nombre c serait compris parmi les résidus de la $ /‘\ ñ ; c - IL 7 àc V'arsk .r.îr suite (4), ce qui est contre l’hypothèse. D après. cela, cn a 7(M)=3r ou 9p(M)>3n. \ On peut continuer a1n>uu:qu à l’épuisement complet des o({M) nombres premiers et non supérieurs à M, et l’on voit que l’on a nécessairement 9(M)= mn, In étant un nombre entier* ce qui est le théorème dé- montré au numéro précédent. Mais la congruence (3) entraîne nécessairement a”?=1 (mod. M), ou a#M=1 (mod. M), ce qui est précisément le théorème de Fermat généralisé. Des racines primitives. 303. D’ après le théorème de Fermat généralisé, la congruence (M=1 (mod.M) admet pour racines les 9 (M) nombres p1“‘“1‘ 1lers et non supérieurs à M. Ceux de ces nombres qui appartiennent, suivant le module M, à l’ exposant o (M) sont dits racines primitives de la précédente congruence, ou simplement racines primitives, relativement au module M. Ainsi le nombre a, premier à M, sera racine primi- tive si, pour toutes les valeurs de n inférieures à o(M) e a” est incongrue à l’unité, suivant le module M. l)dn ce cas, la série des résidus des puissances 15003 A5 RI