PROPCOE S mmm —yre F E Ë sr HE 25 7 7 . 46 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURF. Nouvelle démonstration du théorème de Wilson, f . . JU2. Si p est un nombre premier, la congruence t es p (P —1 (e—1)(=—3) À.r—3/…..\.æn—p—,—n) —(ærter) Il © {::_3,\ = = admet les p—1 racines = € 1,2, 9 . <(p—1); et, comme elle n’est que du degré p — », elle doit être identique. Si donc on désigne par S, la somme des non-- bres 1, 9,4…., (p—1), par S, la somme de leurs produits deux à deux, ete., par S,_, le produit de tous ces nom- bres, on aura S =0, S,=0, S,=0o, … Spy=—t, suivant le module p. La dernière de ces congruences constitue le théorème de Wilson. Remanque. — Les coefficients de l’équation (* —1)(x—2){x—3).. (æ—p+1)=0, ordonnée par rapport à x, étant des multiples de p, à l’exception du dernier terme, si p est yremier, la somme ' 3 f , des puissances mnièmes des p—1 racines uUS (p—1) sera divisible parp, à moins que m ne soit un multipie de p—1. Cela résulte immédiatement des formules de Newton.