SECTION- IlI. — CHAPITRE I. 45 addition le premier terme du dividende en quosti0n soit divisible par le p1‘cmicr terme du diviseur CO]ÏI‘CSPOHd&ÛIÇ. 301. Supposons maintenant qu’on veuille connaître le nombre des racines de la congruence (1) F(æy==0 (mod. p). Ces racines appartiennent toutes à la congruence (2) æ — 1=1 (mod.p); il suffit donc de chercher les racines communes aux con- gruences (1) et (2). Pour cela, on déterminera, comme il vient d’être dit, le plus grand commun diviseur à f (æ) et à œP=!—1. S’il n’existe pas de diviseur commun, la pro- pesée n’aura aucune racine; si, au contraire, on trouve un plus grand commun diviseur (x) de degré u, la con- eruence proposée aura y racines, qui seront celles de la congruence g(x)=0 (mod.p), laquelle a effectivement racines, puisque 9(x) est un diviseur de degré u du binôme xP!—1. Exemrre. — On demande le nombre des racines de la congruence f(a)=x=—3x2}—208 —2 +2—2= (mod. 7)- En cherchant le plus grand commun diviseur des poly- nômes x$—1 et f(x), comme on l’a indiqué au n° 300, on trouve les deux restes 3 î'\.7r" + 9x3 + 322 — 292 + 3) 2(æ‘°’—+- 3.r2—.27—3\); le second reste étant diviseur du premier, la congruence proposée a trois racines qui appartiennent aussi à la con- gruence du troisième degré a?+ 3x* —x —3=0 (mod.7).