42 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Onvoit que, généralement, si chacune des congruences esx e E p ° s0= ; Te)=e fAi(x)=o .. Fm—s— ({æ) =0 (mod.p) à une racine, et que la congruence 1110 « Fm—#(æ) =0 (mod. P) 5 Ë ? ; L n'en aitaucune, la proposée aura m—u racines. Si l’on Suppose que ay, d», .…, @m_, SOIEent Ces racines, on aura BR,=0o, R,=o, ..., Ry—y=0 (mod. p), et la formule (3) donnera (5) f(æ)=(x—a;) ( — à2)+ . . ( — Am_u) F (æ) (mod. p), F (x) désignant une fonction entière du degré u, telle que la congruence e F(x)=0o (mod. ) n’ait aucune racine. Si le nombre y est égal à zéro, la fonction F (x) se réduit à la constante A,, et la formule (3) donne ce E SE , f ; ; ‘ (6) f(æ)=A,(x—a;) (æ — 4)..-(x—an) (mod. p), d’où il suit que la congruence proposée ne peut avoir pour racines que les m nombres ay, d>, …, Am- CororLamre. — Si la congruence f(x)=0 (mod. p) du degré m est satisfaite par plus de m valeurs de x, elle est nécessairement identique. 299. Nous présenterons ici une conséquence fort im- portante du théorème que nôus venons d’établir. Tuéorème. — Si F(æ) et F(x)"sont des fonctions entières à coefjicients entiers, dont les degrés soient infé- rieurs à p, et que f (x) soit un diviseur de la fonction