SECTION IIT. — CHAPITRE I. ‘ 41 il viendra, en remplaçant f#(x) par sa valeur Âo, bl s3 (æ — (Ll) (“ d9). » s= (3) < lu/,L(r%(zl) (.r—(æ, (1 ___((…_1\)_‘_'_,_ + Rs (x — @ ) (.r—afl+l (æ — a,) + B1 Supposons maintenant que la congruence proposée ait une racine, et prenons @, égal à cette racine; on aura alors R,=o (mod.p), et, d’après les égalités (2), la congruence (1) pourra se mettre sous la forme (x — «,) f(x)=0 (mod. p). Le module p étant premier, le produit (x —a1) fu(æ) ne peut être congru à zéro suivant ce module, à moins que l’un des facteurs ne soit divisible par p ; donc, si la précédente congruence admet des racines distinctes de a,, ces racines appartiendront à la congruence (4) f(æ)=0 (mod.p). Si la congruence (4) n’a point de racines, la proposée n’aura que la seule racine ay. Si, au contraire, cette con- gruence a des racines, et que l'on prenne pour az l’une de ces racines, on aura — \ R,=o (mod.p), et, d’après les égalités (> ), la congruence (4) prendra la f011ne (= — à,) 2(x)=0 (mod. P)- Le même raisonnement montre que, si cette congruence a des racines distinctes de «», ces racines appartiennent à la congruence f (x)=0 (mod.p).