SECTION IIX. — CHAPITRE I. 39 il s fh de dé m] l acine de l oy ce il suffira de déterminer la racine de la congruence ax —1=—0 (mod.M), ou, sil’on veut, de résoudre en nombres entiers l’équa- tion indéterminée ax — My = 1. A , " 7 Ls 2.2 Au surplus, comme le théorème de Fermat généralisé donne a80=1 (mod. M), l’associé demandé est évidemment le résidu de la puis- sance (['; Îzî;—l_ Des congruences dont le module est un nombre £ pl'6mi@l’. 9 297. Étant donnée la congruence A, 07 4 A 4 ++ A r% + An =0 (mod.p), dont le module p est supposé premier, et dans laquelle les coefficients Ag, A,, … sont des entiers compris entre ; D ? ; zéro et p ou entre — L et + ]—, on peuL toujours la rem- 2 x ; p1nccr par une autre dont le p1‘0mier terme ait pour coefficient l’unité. Car soit A’ le nombre,associé de Ao, c’est-à-dire le nombre tel que l’on ait A,A'=1 (mod. p), et désignons par B7 les résidus des produits , , A ln AA A si l’on multiplie par Ao À" les termes de la congruence proposée, à partir du deuxième, cette congruence pren- # ué rr m rn rrr 2 22700 e ue E L rrr mt rrh t ce