e m QUd S TT 28 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. ce qui montre que cette valeur de x répond aussi à la se- conde décomposition. Il résulte de là que N est le nom- P —n M ; bre des decompos…ons de — en deux facteurs premiers 2 entre eux, et l’on aura alors N= 2?, comme dans le premier cas. Supposons, enfin, que M soit divisible par la puis- sance 2? de , p étant >r1, et désignons encore par n le nombre des facteurs premiers impairs inégaux de M ou M . Ë = de Z Dans ce cas, on peut rejeter toute décomposition M=—AB, dans laquelle l’un des nombres À ou B serait impair. En effet, supposons À pair et B impair; le raisonnement que nous venons de faire, à l’occasion du cas précédent, montre que la racine qui répond à la décomposition AB ; ; ; x A ° sera aussi donnée par la décomposition = < 2 B. Main- } tenant une décomposition de M en deux facteurs pairs donne deux racines x qui sont nécessairement distinctes de celles fournies par une autre décomposition de la même espèce; car, dans chaque décomposition, les facteurs doivent avoir 2 pour plus grand commun diviseur; donc, pourobtenir toutes les décompositions utiles de M, 1l faut ; M ; : ; z former celles de - etintroduire ensuite 2 dans le premier 2 facteur, 2* dans le second, puis inversement 2°-* dans le premier facteur et 2 dans le second. Si p = 2, ces deux dernières opérations rentreront évidemment l’une dans l’autre. Il résulte de 1X que, si p= 2, c’est-à-dire si M est divi-