18 - COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Soit, en effet, M = M, M,, M, et M, étant des nombres entiers. H est évident que la racine de la congruence (1) doit satisfaire à la congruence (2) ax +b=o (mod. M,); désignons par æ la racine de cette congruence : les valeurs de x qui satisfont à la proposée seront de la forme «=0+M, x. æx, étant une indéterminée, et en substituant cetie valeur il viendra (aa+b)+ M,axr, =0 (mod. M). Par hypothèse, aa + b est divisible par M, ; si donc on p05€ au + b M, 7 252N E 1» la précédente congruence, divisée par M,, deviendra ax, + b =0 (mod. M,). Si l’on désigne par œ, la racine de cette nouvelle con- gruence, la formule æ — 0+ M,e, donnera la racine de la proposée. On conclut de là que, si l’on a M = M, M, ... M, M,, M», .., My étant des nombres entiers, la résolntion de la congruence ax + b=0o (mod. M)