SECTION IlI. — CHAPITRE I. I7 valeurs sera donc nulle, relativement à ce module, et la valeur correspondante de x sera la racine demandée. Si x désigne cette racine, on peut écrire —. (—Î (mod. M), comme Gauss l’a proposé. Si le coefficient a n’est pas premier avec le module M et que d désigne le plus grand commun diviseur de ces deux nombres, la congruence (1) ne sera résoluble que si b est divisible par d. Quand 1l en est ainsi, la con- gruence, divisée par d, devient b M (3) î—ËT = :;:E O ; on rentre alors dans le cas que nous venons d’examiner. Soit æ la racine de la congruence (3): les valeurs de x qui pourront y satisfaire seront toutes comprises dans la » formule M eq p d et l’on voit que la proposée admettra les d racines M 2M (d—1)M X 0H S9 0H 90577 E s——> d d d qui sont incongrues suivant le module M. 289. Lorsque le module M est un nombre composé, la résolution de la congruence (1) ax+—b=o (mod. M), où l’on suppose a premier avec M, peunt être ramenée à celle d’autres congruences dans chacune desquelles le module est un facteur de M- S. — Als. sup., U, 2