SECTION III. — CHAPITRE I. 15 fait à cette congruence, en faisant x = a, on y satisfera aussi, d’après une remarque précédente, en faisant, quel que soit l’entier k, x =a + kM; d’où il suit que chaque solution en donne une infinité d’autres, mais qui sont toutes équivalentes suivant le module M. Les diverses solutions renfermées dans une même formule a+AM peuvent se déduire de l’une quelconque d’entre elles ; d’ailleurs, on peut disposer de l’entier À de manière que cS ; M a+kM soit compris entre — — M et — —», ou entre o 2 et M; il n’y a donc lieu de s'’occuper que des solutions comprises entre ces limites. Cela posé, nous appellerons racines de la congruence f(z)=0 (mod. M! les diverses valeurs de x comprises entreoet M, qui ren- dent f(x) divisible par M. Une congruence est identique lorsque tous ses coeffi- cients sont divisibles par le module, et elle est évidem- ment impbssibÏe lorsque ses coefficients sont divisibles par l’un des facteurs du module, à l’exception du-terme indépendant de x. Si F (x) désigne un polyùôme entieretrationnel, ayant pour coefficients des nombres entiers, on peut substituer à la congruence f(æ)=0o (mod.M) la congruence équivalente f(æ) + MF(æ)=0 (mod. M),i et disposer ensuite des coefficients indéterminés de F(x), ; ; Z M . jour rabaisser au-dessous de M, et même de — s1 l’on Ï , = veut, tous les coefficients de la congruence.